- Une entreprise produit des richesses pour elle-même, une nation en repartit une partie pour la solidarité.
- Pour une économie décente et un collectif non oppressant
- Nationaliser en crise pour privatiser hors de crise est-ce raisonnable ?
- Quelles sont les activités qui doivent obéir à la gestion collective
- Quelles sont les activités mixtes
- Les entrepreneurs sont en charge d’assumer l’impact des crises sur leurs entreprises
- Service public : qui va regrouper tout ce qui est entièrement sous contrôle des autorités gouvernant la nation.
- Délégation ou concession de service public : regroupe ce que l’on peut confier à des tiers
- Sous-traitant de mission de service public : qui délègue contractuellement l’exécution sous l’autorité de la tutelle de l’état
- L’armée bien sûr ? faut-il garder la logique où l’état est le recours pour tout.
- Il appartient aux entreprises de prévoir les outils pour absorber les crises
- L’état doit assurer la solidarité des citoyens plus que le soutien des entreprises
- L’injonction des aides doit-elle aller aux entreprises ou pour ménager les ressources des citoyens ?
- Quel niveau d’indépendance ?
- L’autonomie doit-elle être mondiale, nationale, régionale ?
- Doit-on être tributaire de choix d’entreprises ou de politiques d’aménagement ?
- Qui est propriétaire des données ?
- Qui doit gérer des services comme la télésurveillance, la géolocalisation
- Sortir des règles de tout ou rien
- Gérer les ouvertures et les restrictions d’entrée de façon fluide.
- Modifier les règles de déplacements en fonction des contraintes : sous quelle autorité, quel contrôle ?
- Comment équilibrer de façon humaine la sécurité en temps de crises et l’ouverture des frontières, le droit d’asile, les migrations.
- Réduire les écarts
- Reconnaître les métiers indispensables en tant de crises
- Repenser la taxation des produits de bourse (ou repenser les bourses)
- Ramener de la décence dans l’équilibre profit et juste rémunération du travail.
- La garantie minimale universelle revient à l’ordre du jour, au moins en temps de crise.